Les normes de protection motocross sont importantes pour garantir la sécurité du pilote lors de la pratique de ce sport. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection en motocross :
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Les normes de protection motocross sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les normes de protection motocross incluent des exigences en matière de casques, de lunettes, de gants, de bottes, de protège-tibias, de genouillères, de coudières, de vestes et de pantalons.
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Les casques utilisés en motocross doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes DOT, ECE et SNELL.
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Les lunettes doivent être équipées d'une protection contre les UV et d'un système de ventilation pour éviter la formation de buée.
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Les gants doivent être résistants aux chocs et à l'abrasion, et avoir une bonne adhérence pour permettre une manipulation précise des commandes de la moto.
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Les bottes doivent offrir une protection suffisante aux chevilles et aux tibias, ainsi qu'une bonne adhérence pour éviter le glissement sur les repose-pieds.
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Les protège-tibias, genouillères et coudières doivent être conçus pour absorber les chocs et réduire les risques de fractures ou de blessures.
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Les vestes et pantalons de protection doivent offrir une protection contre les impacts, les frottements et les coupures.
Il est important de choisir des équipements de protection homologués pour la pratique du motocross, afin de garantir une sécurité maximale. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir les équipements les plus adaptés à votre pratique.
Homologation des équipements individuels
Protections pour la tête : Le casque = ECE 22-05 - P - NP - J
Le casque est l'équipement de protection le plus important en motocross, car il permet de protéger la tête et le cerveau du pilote en cas de chute ou de collision. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection des casques en motocross :
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Les normes de protection des casques sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les casques utilisés en motocross doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes DOT, ECE et SNELL.
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Les casques doivent être conçus pour absorber les chocs et réduire les risques de traumatisme crânien en cas d'impact.
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Les casques doivent être équipés d'une mentonnière pour protéger le menton et la mâchoire en cas de choc frontal.
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Les casques doivent offrir une bonne ventilation pour éviter la formation de buée et permettre une bonne circulation de l'air.
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Les casques doivent être ajustables pour s'adapter à la morphologie du pilote et offrir un maintien optimal.
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Les casques doivent être équipés d'un système de fermeture sécurisé pour éviter qu'ils ne se détachent en cas de choc.
Il est important de choisir un casque homologué et de qualité pour garantir une protection maximale en motocross. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir un casque adapté à votre pratique.
Si il est non conforme, le commissaire technique peut le garder et le rendre en fin de manifestation.
Homologué et vérifié il porte une marque FFM, collée sur la mentonnière à droite.
La jugulaire est normalement serrée, afin d'empêcher sa perte en cas de chute.
Normes des Casques autorisés en compétition, Nationale et Internationale.
Europe - ECE 22-05 - P - NP - J
Japon - JIS T 8133
USA - SNELL 2010 ou 2015 (2000 et 2005 interdits)
En Vitesse ou course de côte le type de casque dit : Off Road (avec mentonnière saillante) est interdit.
Les pares pierres :
Les pares-pierres sont un équipement de protection important en motocross, qui permet de protéger la poitrine et le dos du pilote en cas de chute ou de collision. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection des pares-pierres en motocross :
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Les normes de protection des pares-pierres sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les pares-pierres doivent être conçus pour absorber les chocs et réduire les risques de fractures ou de blessures.
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Les pares-pierres doivent offrir une protection suffisante à la poitrine et au dos du pilote, tout en permettant une liberté de mouvement suffisante pour une pratique confortable du motocross.
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Les pares-pierres doivent être homologués selon les normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes CE et EN.
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Les pares-pierres doivent être ajustables pour s'adapter à la morphologie du pilote et offrir un maintien optimal.
Il est important de choisir un pare-pierre homologué et de qualité pour garantir une protection maximale en motocross. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir un pare-pierre adapté à votre pratique.
Protections pour les épaules, coudes, hanches et genoux = EN 1621-1
La norme EN 1621-1 concerne les « Vêtements de protection contre les chocs mécaniques pour motocyclistes — partie 1 : protecteurs contre les chocs sur les articulations pour motocyclistes - Exigences et méthodes d’essai », parue en 1997.
Pour le niveau 1, les protections sont soumises à 12 impacts de 50 joules, soit l’équivalent d’un poids de 5 kilos, lâché depuis une hauteur de 1 mètre. Ces chocs ne doivent pas laisser plus de 35 kN de force résiduelle en moyenne, avec un pic autorisé sur un des impacts jusqu’à 50 kN.
Pour le niveau 2, l’énergie résiduelle ne doit pas dépasser en moyenne 20 kN, avec des pics à 35 kN.
Protections dorsales = EN 1621-2
La norme EN 1621-2 concerne les « Vêtements de protection contre les chocs mécaniques pour motocyclistes — partie 2 : protecteurs dorsaux — Exigences et méthodes d’essai », datant de 2003.
Après 5 impacts de 50 J, dont 2 sur des points faibles :
- pour le niveau 1, la force résiduelle moyenne ne doit pas dépasser en moyenne 18 kN, avec un impact autorisé jusqu’à 24 kN ;
- pour le niveau 2, la force résiduelle moyenne doit demeurer inférieure à 9 kN, avec un impact autorisé jusqu’à 12 kN.
Lorsque le niveau n’est pas précisé, il s’agit implicitement de protections de niveau 1.
Protections thoraciques = EN 1621-3
La norme EN 1621-3 concerne les « Vêtements de protection contre les chocs mécaniques pour motocyclistes — partie 3 : Exigences et méthodes d’essai pour protecteurs de poitrine ».
Elle indique des valeurs de force résiduelle d’un impact, ainsi qu’une mesure de la distribution de l’impact : 20 kN en moyenne et un pic autorisé à 35 kN, pour un impact à 50 J.
Airbags = EN 1621-4
La norme EN 1621-4 définit l’énergie minimale d’activation (pour un airbag à déclenchement mécanique), l’aire de couverture minimale et le type d’airbag. Le temps d’activation doit être inférieur à 200 m/s, soit 2,5 mètres parcourus à 50 km/h.
La force résiduelle de l’airbag est mesurée comme pour les dorsales. Elle ne doit pas laisser passer plus de 4,5 kN en moyenne et un pic à 6 kN pour le niveau 1, et seulement 2,5 kN en moyenne et un pic à 3 kN pour le niveau 2.
Gants = EN 13 594
Les gants sont un équipement de protection important en motocross, car ils permettent de protéger les mains du pilote en cas de chute ou de collision. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection des gants en motocross :
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Les normes de protection des gants sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les gants utilisés en motocross doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes CE et EN.
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Les gants doivent être conçus pour absorber les chocs et réduire les risques de blessures aux mains.
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Les gants doivent offrir une bonne adhérence pour permettre une bonne prise en main des commandes de la moto.
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Les gants doivent être ajustables pour s'adapter à la morphologie de la main du pilote et offrir un maintien optimal.
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Les gants doivent être équipés d'une protection renforcée au niveau des articulations pour protéger les zones les plus sensibles de la main en cas de choc.
Il est important de choisir des gants homologués et de qualité pour garantir une protection maximale en motocross. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir des gants adaptés à votre pratique.
La norme EN 13 594 s’appliquant aux « Gants de protection pour motocyclistes professionnels » date de 2003.
Au niveau 1, les gants doivent résister à une abrasion de 1,5 seconde et une pression d’éclatement de 40 N. Ils subissent des tests de déchirement et de perforation. Leur ergonomie et l’innocuité de leurs matières premières sont contrôlées. Il est vérifié que les gants descendent d’au moins 1,5 cm sous la base du pouce et qui ne puissent être arrachés en cas de glisse.
S’ils possèdent des coques de protection, un impact de 5 J ne doit pas laisser passer une force résiduelle de plus de 4 kN.
Au niveau 2, la résistance à l’abrasion passe à 5 secondes.
Les gants portant la norme CE 89-686 et vendus comme des gants de moto ne sont en réalité pas homologués. Ils ne sont soumis à aucun des tests pouvant les qualifier pour être considérés comme des gants de moto, même s’ils sont promus comme tels. Le code CE 89-686 constitue une désignation générique de la directive sur les EPI, ce qui en fait des gants autocertifiés par leurs fabricants.
Bottes = EN 13 634
Les bottes sont un équipement de protection important en motocross, car elles permettent de protéger les pieds et les chevilles du pilote en cas de chute ou de collision. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection des bottes en motocross :
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Les normes de protection des bottes sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les bottes utilisées en motocross doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes CE et EN.
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Les bottes doivent être conçues pour absorber les chocs et réduire les risques de blessures aux pieds et aux chevilles.
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Les bottes doivent offrir une bonne adhérence pour permettre une bonne prise sur les repose-pieds de la moto.
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Les bottes doivent être ajustables pour s'adapter à la morphologie du pied et de la cheville du pilote et offrir un maintien optimal.
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Les bottes doivent être équipées de protections renforcées au niveau des tibias, des chevilles et des orteils pour protéger les zones les plus sensibles en cas de choc.
Il est important de choisir des bottes homologuées et de qualité pour garantir une protection maximale en motocross. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir des bottes adaptées à votre pratique.
La norme EN 13 634 a été mise à jour en 2010. Jusqu’à la pointure 36, la hauteur minimale est de 162 mm et 192 mm au-delà. La résistance à la perforation et la rigidité sont contrôlées.
- La zone A nécessite une résistance à l’abrasion de 1,5 seconde pour le niveau 1 et 2,5 secondes pour le niveau 2.
- La zone B étant plus exposée, la résistance à l’abrasion passe à 5 secondes pour le niveau 1 et 12 secondes pour le niveau 2.
Blouson, pantalon, combinaison = EN 13 595
La norme EN 13 595 date de 2002. Les tests diffèrent selon le risque d’abrasion en cas de chute. Le niveau 1 convient aux vitesses inférieures à 50 km/h et le niveau 2 au-delà.
Résistance à l’abrasion, éclatement et perforation (lame lâchée de 400 mm de haut)
Zones 1 et 2 |
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Niveau 1 |
4 secondes — 700 kPa — 25 mm |
Niveau 2 |
7 secondes — 800 kPa — 15 mm |
Zones 3 et 4 |
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Niveau 1 |
1,8 seconde — 500 kPa — 30 mm |
Niveau 2 |
2,5 secondes — 600 kPa — 25 mm |
Zone 4 |
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Niveau 1 |
1 seconde — 400 kPa — 35 mm |
Niveau 2 |
1,5 seconde — 450 kPa — 30 mm |
Les équipements de la zone 1 — épaules, coudes, hanches et genoux — doivent être munis de coques à la norme 1621-1 et passer des tests sur leur ergonomie, ainsi que sur l’innocuité de leurs matières premières et leurs teintures.
Les lunettes :
Les lunettes sont un équipement de protection important en motocross, car elles permettent de protéger les yeux du pilote contre les projections de terre, de sable, de cailloux et autres débris. Voici quelques informations utiles à connaître sur les normes de protection des lunettes en motocross :
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Les normes de protection des lunettes sont définies par des organismes de réglementation tels que la Fédération Internationale de Motocyclisme (FIM) et la Commission de la sécurité des produits de consommation (CPSC).
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Les lunettes utilisées en motocross doivent être conformes aux normes de sécurité en vigueur dans le pays de pratique. Les normes les plus courantes sont les normes CE et EN.
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Les lunettes doivent offrir une protection maximale contre les projections et les chocs, tout en permettant une vision claire et sans distorsion.
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Les lunettes doivent être confortables à porter et être équipées d'un système de ventilation pour éviter la formation de buée.
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Les lunettes doivent être compatibles avec le port d'un casque de motocross et offrir une bonne tenue en cas de chute.
Il est important de choisir des lunettes homologuées et de qualité pour garantir une protection maximale en motocross. N'hésitez pas à consulter les normes de sécurité en vigueur dans votre pays et à demander conseil à un professionnel pour choisir des lunettes adaptées à votre pratique.
EN ENDURO Les écrans jetables sont interdits
Le niveau sonore :
Application du Code de l’Environnement :
En cas d’infraction, le Jury décidera des sanctions. Pilotes et accompagnateurs doivent :
Ramasser et emporter ordures et pneus usagés.
Stocker les huiles et les liquides usagés dans les récupérateurs.
Laver les motocycles à l’eau, sans détergent, uniquement à la station de lavage.
Interdit dans les paddocks
Le Tapis environnemental :
il est obligatoire lors de l’entretien des machines : parcs coureurs, zones de ravitaillement et réparations
Il mesure au minimum : 160 cm de long et 100 cm de large
Il est étanche au contact du sol
Il doit absorber : 1 litre de liquide minimum
Son épaisseur est de 5 à 7 mm minimum.
Homologation de la moto ou du quad :
La signalisation
Tout motocycle doit être équipé d’une signalisation lumineuse. Il doit posséder à l’arrière :
- 1 feu de stop ;
- 1 feu de position ;
- 1 dispositif d’éclairage de la plaque d’immatriculation ;
- 1 catadioptre non triangulaire ;
- 2 feux indicateurs de direction.
Les 2 feux indicateurs de direction doivent se situer à une hauteur oscillant entre 350 mm et 1 200 mm. Ils doivent être espacés d’au moins 180 mm.
Il ne peut exister de lumière blanche visible à l’arrière, sauf pour les véhicules munis d’une marche arrière.
Le montage de la plaque d’immatriculation
Les dimensions de la plaque d’immatriculation
Les dimensions et le positionnement s’appliquant au montage de la plaque d’immatriculation à l’arrière des véhicules à moteur à deux ou trois roues se définissent comme suit.
Pour les motocycles et tricycles allant jusqu’à 15 kilowatts de puissance maximale, ainsi que pour les quadricycles, autres que quadricycles légers, mais sans carrosserie :
- largeur de l’emplacement de la plaque : 280 mm ;
- hauteur de l’emplacement : 210 mm.
L’inclinaison
Sur le plan horizontal, la plaque d’immatriculation doit se fixer perpendiculairement par rapport au plan médian du motocycle. Sur le plan vertical, elle peut se retrouver inclinée à un maximum de :
- 30 degrés par rapport à la verticale du véhicule, lorsque celui-ci n’est pas chargé et lorsque la face portant le numéro d’immatriculation est tournée vers le haut ;
- 15 degrés, lorsque le véhicule n’est pas chargé et lorsque la face portant le numéro d’immatriculation est tournée vers le bas.
La hauteur maximale
Le point de fixation de la plaque d’immatriculation ne doit jamais se trouver à une hauteur au-dessus du sol supérieure à 1,50 mètre lorsque le véhicule n’est pas chargé.
La hauteur minimale
La marge inférieure par rapport au sol pour la fixation de la plaque d’immatriculation est de 0,20 m. Si le rayon de la roue se situe en dessous de 0,20 m du sol, la plaque d’immatriculation peut se fixer à son niveau. Ces mesures concernent le véhicule lorsqu’il n’est pas chargé.
La visibilité géométrique
L’espace de l’emplacement pour monter la plaque d’immatriculation est défini à l’intérieur de deux dièdres (figures géométriques formées par deux demi-plans ayant pour frontière la même droite), afin d’assurer la visibilité optimale.